... Je ne résiste pas à ce grand embrasement d'embrassades, qui fusent de toutes parts. Je te prends et te serre entre mes bras pour mieux t'enlacer et t'étreindre. Vais-je manquer d'air au point de changer de couleur de peau ? Nenni. C'est de l'art. A force de vous embrasser à pleine bouche gourmande ou de vous assaillir, plus chaste, de mes baisers d'oiseau, je ne fais en fin de course que vous choisir, vous adopter.
Formidable invitation à mieux se prendre et se perdre, puis-je cher peintre, sans trop m'égarer et avec tout le respect de l'artiste joyeux, saluer en vous le sacré baiseur que vous devriez être !
Régine CHOPINOT - Chorégraphe
Qui trop embrasse, mal étreint !